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Un blog en metal

8 mars 2009

Live report : SUICIDAL TENDENCIES @ Elysée Montmartre le 01/11/2008

The cycos are back !

En effet, Mike Muir et sa bande sont de retour pour une tournée européenne, dont quelques dates françaises. Et évidemment Paris n'y échappe pas. Ni une, ni deux, je réserve ma place. Première partie : The Inspector Cluzo, duo de musicien assez funky dans leur tête.

Une première partie très endiablée d'ailleurs et groovy à souhait. en effet, ils savent chauffer la sale et faire de la bonne musique. Petit set, mais bonne ambiance. Détendue, sans prise de tête, mais surtout : SUIT UP ! Ouais en constard les mecs ! Sympatique.

En tout cas ça fait du bien de voir une première partie comme ça, ça faisait longtemps que je n'en avais pas vu d'aussi entrainante.

Après quelques minutes d'attente, SUICIDAL TENDENCIES entre en scène. Alors déjà pour faire taire le suspens, c'est "You can't bring me down", qui ouvre le bal et les hostilités. Grosse montée en puissance, arrivée des zicos, qui serrent la pogne aux gens de la fosse. Fait marquant. En voilà un super bon esprit, qui met tout de suite en confiance. Zicos tout sourire, harrangant la foule en délire. Puis l'explosion, et Mike Muir qui fait son entrée... fracassante. Et vas-y que je saute partout, que je serre la main à tout le monde pareil, tout sourire encore une fois. La joie de vivre quoi ! J'insiste là dessus, car c'est pas souvent que je vois un tel groupe transpirer une joie communicative.

Et pendant un peu plus d'une heure, c'est une grosse fête : les tubes s'enchainent, la foule (et moi donc) chantent en choeur les refrains, Mike tape la discut' avec nous. Solo de batterie en prime... Et, suprise ! Nouveau morceau ! Issu du prochain album à venir courant 2009 ! Et ba ça envoie sévère ! On laisse le funk metal à INFECTIOUS GROOVES, le projet parallèle à Mike Muir, et on revient à du bon crossover Hardcore/Thrash Metal, comme ils savent le faire. 'a le mérite d'être efficace, et ça fait bouger le public !

Et puis vint le moment de la soirée : comme à l'accoutumée, SUICIDAL TENDENCIES conclut le concert avec "Pledge Your Allegiance", et Mike Muir invite le plus de monde possible à s'éclater sur scène ave cles zicos, en chantant, sautant et autre joyeusetés. Quel moment ! intense, magique, énorme ! Un vrai moment de bonheur ! Chanter avec le bassiste et serrer la main à tout le monde et saluer Mike Muir, c'est trop, c'est limite du rêve... mais c'est vrai ! Pleins de souvenir en tête, le monde qu'il y avait sur scène, les photos prises (bon j'ai pas ramené mon réflex, comme quoi un compact c'est bien parfois) et tout le reste.

Un grand concert donc, même si ce ne fut pas aussi long que IRON MAIDEN par exemple, ç'a eu le mérite d'être un grand moment de musique et de fête, où on oublie tous nos soucis pour s'éclater VRAIMENT ! Avec des skateurs, des metalleux, des fans de BM, etc... gros melting pot musical. J'en redemande ! !

J'attends avec impatience leur venue au Hellfest, ça va être géant !

Bilan : SUICIDAL TENDENCIES, c'est un groupe à voir sur scène au moins une fois dans sa vie ! Court, mais très intense !

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8 mars 2009

SNOT - Get Some (1997)

Snot___Get_Some

Séquence rétro avec un album vieux de presque... 12 ans. Oui 1997 c'est vieux, ça remonte loin. C'était du temps où le néo metal était sur le point d'exploser. KORN fait à cette époque déjà office de leader, avec deux bombe du genre. DEFTONES est dans le sillon en proposant quelque chose de différent.

Toute cette vague néo metal, ou "nü" (prononce new) pour faire branché de la hype, a contribué a qualifier SNOT de gorupe de néo, à tort. Car SNOT fait aussi bien du néo metal que Johnny Halliday fait du rap. Bref, SNOT n'est pas un groupe de néo. Alors c'est quoi donc ?

Un cocktail explosif de punk, de metal bien rentre dedans, avec quelques passages funky voire carrément lounge (!!). Une fusion unique et une musique qui fait remuer, voilà la recette. Et ça donne cet album incroyable, véritable missile à fragmentations (aux nombres de 15). A cette époque, le groupe faisait limite figure d'avant gardiste, et sera imité, mais jamais égalé. Car SNOT a réussi l'alchimie parfaite entre brulôts 100% punk, morceaux typiquement metal et mid-tempo cool. Lynn Strait, le frontman du groupe, est un des instigateurs, qui emporte litérallement le groupe avec sa présence.

Tantôt voix endiablée, tantôt posée, sa voix donne la température. Et la production est exemplaire, aucun instrument n'est malmené, chacun a son importance et contribue à cette alchimie. Mention spéciale à la basse qui est royale et menée de main de maitre ("Snooze Button", "Mr Brett", "My Balls" entre autres), et insuffle un groove contagieux.

Pas énormément de solo de guitares, mais les branleurs de manches s'en sortent royalement, avec un son agréable. Les effets wah-wah sont du plus bels effet et rajoutent un grain de folie à certains morceaux ("My Balls"). La mini intro résume parfaitement l'état d'esprit du groupe : "Fuck the record ! And fuck the people". Pas de compromis, pas de concessions, authenticité donc.
Et c'est là la grande force de cet album : rien à jeter, même les interludes qui aèrent l'ensemble, de l'énergie à revendre, une patate d'enfer, une musique atypique, voilà les ingrédients de cet unique album.

Unique, car le groupe s'arrêtera avec la mort de Lynn Strait, irremplacable leader et frontman. Même si le gorupe s'est reformé, avec un nouveau morceau sur leur myspace, il reste mort pour moi, n'étant plus le SNOT de cet album.

Bilan : un album indispensable à découvrir. Un must de la fin des 90s, qui n'a pas pris une ride !

Note : 9.5/10

27 février 2009

IRON MAIDEN - Somewhere Back In Time World Tour

IRON MAIDEN.

Rien que ce nom met tout le monde d'accord.

Plus qu'un groupe, une institution Heavy Metal. IRON MAIDEN est au heavy metal ce que les Beatles furent à la pop, et au rock aussi : un monstre, une référence, tout ce que vous voulez comme superlatif (ouais enfin fais gaffe). Et quand IRON MAIDEN part en tournée, tout le monde fait dans son pantalon de plaisir, parce que bon merde c'est IRON MAIDEN. Un peu à l'instar d'autres groupes, comme METALLICA ou ACDC, mais avec un public un peu plus large.

Car même si IRON MAIDEN a toujours fait du metal, on va dire mélodique, avec des textes forts bien choisis (ce qui ferme la gueule à tous ces cons qui trouvent que le metal c'est que du bruit dégueulasseavec beuglements d'ours), ç'a toujours été un groupe connu des amateurs de heavy metal. Enfin je ne m'étale pas.

Un engoument populaire et incroyable, qui prouve une fois de plus, que le metal a des adeptes, que c'est une musique qui fédère (ce qui, à nouveau, ferme la gueule à tous ces cons qui pensent que le metal c'est de la musique d'ado). Un engoument mérité car, à près de 30 ans de carrière (voire plus), nos gaillards ont toujours la pêche. Pour les avoir vu en concert une première fois pour la tournée de l'album A Matter of Life And Death (à venir ici même), je peux vous dire que ce sont des bêtes de scène.
Donc voir IRON MAIDEN c'est voir un spectacle, donc engoument de tout le monde, ce qui a ses travers.

Car voyez-vous, cette ferveur en a aveuglé plus d'un, et c'est là qu'on en vient à la première partie (putain transition de ouf !). Première partie assuré par AVENGED SEVENFOLD qui, même si leur look laisse à désirer, offre une musique assez hétéroclite, un gros bordel d'influences en tout genre. Résultat : une musique explosive, qui décoiffe, et des zicos qui assurent pas mal. Quelle ne fut pas ma joie en sachant que j'allais les voir jouer en live quelques morceaux. Mais je fut vite déçu. Bon les faits : prestation carré, son pas trop mauvais, chansons reconnaissables, rien à redire. Mais : aucune folie, aucune hargne, pas de vigueur, pas de charme. Dommage. Mais, il y a une explication.

On en revient à l'aveuglement des fans de IRON MAIDEN. En général, quand vous allez voir un groupe que vous aimez, vous regardez d'un oeil distrait la première partie. vous n'attendez qu'une chose : LE groupe. Ceux pour qui vous êtes venu. Jusque là rien d'anormal, ça fait parti du truc. Mais conspuer, huer, limite cracher à la gueule le groupe de première partie, juste parce que leur look craint (bon ça c'est vrai), en réclamant IRON MAIDEN, c'est une honte. Une insulte. Qui fait donc que cette première partie fut à chier, non pas à cause du groupe, qui a fait son truc, mais à cause de toute une bande de connards (facile toute la fosse et plus dans les gradins) qui sifflent un groupe, qui se sent donc insulté, qui leur rend la pareille, en faisant un set sans histoires. TRIVIUM était mieux accueilli et avait offert quelque chose de plus convivial (Matt Heafy qui parle beaucoup avec le public !).

Merci le public !

Passée cette première partie (y avait aussi Lauren Harris, la fille à papa du bassiste Steve Harris, sans intérêt), attente.

Et tout devient noir (ouais normal), et tout de suite, discours de Churchill, images d'époque à l'appui. Comme convenu, ça commence comme Live After death, et ce le sera tout du long (et tout du large). Et BANG ! Aces High qui déboule de manière aussi éclatante que les zicos. La folie dans Bercy ! Et c'est parti pur près de 2h de show dantesque ! Tout y est : décors, costumes pour Bruce Dickinson, le frontman qui a une pêche d'enfer et parle toujours aussi bien Français, toiles de fonds évoquatrices, ambiances (Rime Of The Ancient Mariner, gnnnnnnnnnnnnnnnnnn), et un peu de feu d'artifice.
Un concert comme on en voit peu, avec un groupe qui pète du feu de dieu, des chansons qui se chantent toutes (il me semble avoir chanté à chacune des chansons :p), à en avoir des extinctions de voix (eh eh), bref, le bonheur.

Que dire en sortant ? Qu'on en redemande ! Et que le prochain RDV avec IRON MAIDEN est donné pour la tournée de leur prochain album, prévu cette année normalement.

Un pur moment de bonheur, gâché cela dit par une première partie et des gens ingrats, pire que des supporters de foot (ouais j'ai osé, si t'es pas d'accord, remplace par autre chose)

23 février 2009

AMON AMARTH - Twilight of The Thunder God (2008)

Artwork

En voilà un groupe qu'il est bien ! Fer de lance d'un death mélodique aux consonances vikings, AMON AMARTH est devenu une valeur sure sur la scène métal all over the world. Jeu de scène énorme, hymnes ravageurs, bref ils ont tout pour plaire ces gars là (et en plus ce sont de gros barbus !)

La musique dans tout ça ? (ba ouais c'est vrai ça, on parle de ça dans ce blog)

Un death metal mélodique à l'esprit viking, guerrier et qui a le sens de l'épopée. En effet, chaque musique vous transporte dans un drakkar à l'abordage, ou sur un champ de bataille, où de gros barbus se battent épées en mains, en hurlant des choses à l'adresse de Odin, un vieux plouc du Nord. Ca c'est pour le contexte, pour l'esprit true warrior, qui n'est pas sans rappeler Manowar (en moins ridicule par contre, faut pas déconner).
Depuis leur premier album "Once Sent From the Golden Hall", AMON AMARTH nous propose la même recette, quasi inchangée : du lourd, du très lourd, des chants guerriers... bref, on pourrait croire à une certaine redondance, de la facilité, bref, ça se repose sur ses lauriers tout ça.

Seulement voilà, leur motivation n'est pas là, mais plutôt de chanter à la gloire de leurs ancêtres Viking, de faire là fête. C'est super efficace, et on ne va pas bouder notre plaisir. Au moins c'est fait avec qualité, ce qui n'est pas le cas de tous les groupes. Et ce nouvel album en atteste. Meilleure production que sur le précédent, "Twilight of The Thunder God" regorge à nouveaux d'hymnes guerriers, avec ses refrains et des mélodies entêtant ("Guardians of Asgaard" et ses choeurs uber virils)

Car voilà la force de ce groupe et de cet album : même si la recette est éculée, depuis bon nombre d'album et à la limite de l'essouflement sur "With Oden On Our Side" (de bonne qualité cela dit), on retrouve toute sa saveur ici, qui est illustré par une des plus belles pochettes d'albums. Comment ne pas résister à "Where is Your God" ou encore à "Varyags of Miklagaard" ? Et comment ne pas succomber à l'émotion de la power ballade qui clôture l'album de façon assez mélancolique.

Alors bien sur, cet album n'est pas parfait. On pourrait reprocher principalement la redondance dans leur musique. toujours la même recette, pas de surprise, pas d'évolution, on sait à quoi s'attendre. Cela peut être à la fois gênant et pas du tout. Gênant car les morceaux peuvent paraître prévisible pour certains. Et pas du tout, car on s'attends justement à une grosse baffe.

Et le DVD bonus, qui contient l'intégralité du set du groupe à SummerBreeze, en atteste. Quelle énergie ! Sons et lumière, décors viking, tout y est ! Même des gars en armures qui se tirent la bourre avec des épées pour faire classe °O°. Bref ce concert, c'est une bonne occasion de découvrir le groupe sur scène. Et en plus pour pas cher. L'artwork général est très soigné, très ancré dans les mythologie nordique.

Pour finir, un album qui annonce le retour d'AMON AMARTH aux affaires, avec un album percutant qui, même s'il ne laisse transparaître aucune trace d'évolution, à le mérite d'être efficace, mélodique, et suffisamment inspiré pour se faire plaisir.

Note : 8/10

21 février 2009

Artiste du moment : DEVIN TOWNSEND

Pour inaugurer ce blog, commençons par une présentation d'artiste. Aujourd'hui, il est question d'un Canadien, un peu fou sur les bords, mais étant musicien de son état. Auteur, compositeur, interprète, multi-instrumentiste, producteur, chanteur à la voix d'or, peu connu du grand public évidemment (sauf le grand public métal) : DEVIN TOWNSEND

Devin_Townsend2

Bon c'est vrai, il fait peur comme ça. Mais c'est normal, c'est son style. Un grand fou malade au jeu de scène très... théâtral on va dire.

Faire une biographie entière et détaillée serait fastidieux et inutile. Donc, allons à l'essentiel. Devin Townsend est né en 1972 à Vancouver, et fait preuve d'un talent musical très précoce. En effet, il est découvert, à l'âge de 19 ans par le guitariste émérite STEVE VAI, et le prend sous son aile. C'est avec l'album Sex and Religion que le talent de Townsend explose : voix en or, modulation et timbre hors normes, font de lui la révélation de cet album.

Très vite, Townsend tourne avec Vai et voit du monde. Mais très rapidement, il découvre l'envers de l'industrie musicale, et se rend compte de sa réelle utilité au sein du groupe de Vai. Excédé par ce tirage de ficelles, Townsend s'en va fondé son propre projet solo, avide d'exposer son réel talent de musicien.

C'est ainsi que naquit son projet extrême STRAPPING YOUNG LAD en 1995, peu avant son projet solo. Très vite, il sort le brulôt Heavy as a rally heavy thing, entièrement composé par ses soins. un mélange de Death metal et de metal industriel, qui se caractérise par d'importantes couches sonores se superposant, rendant la musique bordélique pour le néophyte.

En 1997, pour son album City, il décide de recruter un vrai line-up : Jed Simon à la guitare, Byron Stroud à la basse, et Gene Hoglan à la batterie. L'alchimie opère et c'est un chef d'oeuvre qu'il en résulte. Mieux agencé, meilleure production, violence plus controlée, City est un sommet, une montagne de musique extrême, redéfinissant le genre. Jamais égalé depuis. C'est la consécration, Townsend est unanimement reconnu de par les aficionados de musique extrême.

Dans la foulée, il enchaine avec Ocean Machine : Biomech, qui propose un metal plus lumineux, plus expérimental, qui est le reflet de son autre personnalité.

C'est avec l'album solo suivant que Townsend réalise qu'il souffre de trouble bipolaire : d'un tempérament maniaque et hyperactif d'un côté, qu'on retrouve dans la musique extrême de SYL, et dépressif de l'autre côté, voire un peu plus stable. La musique de son proje solo reflète bien le côté plus calme de sa personne. Toujours est-il que Infinity, son deuxième album solo, fut particulièrement éprouvant, du fait de sa "maladie".

Dès lors, il enchaine, avec notamment un retour en 2003 de SYL, avec un album éponyme, plus orienté Death metal, mais non moins réussi, même s'il n'égale pas City. en 2005, il arrête son traitement afin d'explorer sa musique, de trouver de nouvelles limites. S'il est parfois inégal, Alien repousse les limites de Townsend et livre son album le plus dément.

Néanmoins, Towsend souhaite faire une pause, ayant fondé un fils tou juste né au moment de la sortie de The New Black en 2006, sans doute l'album le plus méconnu, de façon assez injuste. Dernier coup d'éclat en 2007, un concept album des plus barges, racontant l'histoire d'un extraterrestre voulant s'emparer de café noir. Ziltoid The Omniscient, dernier album solo en date, sera à nouveau composé par ses soins, contrairement à Accelerated Evolution et Synchestra, qui furent enregistré sous le nom de THE DEVIN TOWNSEND BAND.

Suite à cet album, Townsend met fin à SYL et mettant entre paranthèses ses projets solos pour se consacrer à sa famille. Néanmoins, il produit encore quelques trucs, notamment le projet de ses compatriotes Jed Simon et Byron Stroud ZIMMERS HOLE, et leur album When you were shouting at the devil... we were in league with Satan.

Pourquoi faire une présentation de cet acabit sur Townsend ? Pas parce que je suis au Canada, loin de là (loin de cette idée, hein, et loin de France aussi si tu préfère, mais bon...), mais pour le génie du personnage. C'est simple, tout ce qu'il a fait (à l'exception peut-être de Physicist (2000)) est génial. Une musique unique, expérimentale, remplie de couches sonores, à la limite de la folie. Mais aussi au delà de tout ce qu'on peut concevoir en termes de musique.

Un artiste à découvrir, pour amateur de musique extrême pour STRAPPING YOUNG LAD, et pour amateurs de musique un peu expérimentale pour son projet solo.

Mais écoutez déjà Sex And Religion de STEVE VAI, pour vous faire une idée de son talent de vocaliste.

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21 février 2009

Bienvenue !

Bon voilà c'est fait, un blog 100% musical. Non, c'est pas un blog avec des clips à la con genre "kikoolol ce groupe il déchire et en plus le clip il est trop recherché !!mdr". Non. Ce blog sera constitué essentiellement de chroniques, de critiques, en gros des pavés avec du texte, des lettres, peut-être des chiffres, des images aussi peut-être.

En fait un truc où il faut lire.

*contemple avec consternation la foule partir en courant*

Revenez espèce de bandes !! Vous savez lire ? Et bien ça tombe bien vous aller le faire. Bien évidemment, les chroniques ici présentes ne sont que le fruit de mon avis personnel, et ne reflètent en aucun cas la vérité vraie des bonnes choses de la vie. En gros c'est mon avis, et si vous avez un avis différent sur un album que vous avez surkiffé, et pas moi, y aura de quoi commenter. Du moment que c'est constructif et clair, ne vous gênez pas.

Enfin brefle, voilà c'est lancé, maintenant passons aux choses sérieuses !

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